Tuesday, October 27, 2009

ला जलौसिए

Aujourd’hui j’ai vu le monde d’un autre être humain. Ce monde n’a pas consisté en murs ou dogmes, ni vraiment en logique capitaliste. C’était hors des règles… C’était libre, plus ou moins. C’était l’une des choses les plus magnifiques que j’aie jamais vu. Ce petit coin de l’univers a été pour moi une source d’inspiration, et en même temps il a ruiné ma vie. Quand on ne voit pas ce que l’on veut, on peut imaginer que cela n’existe pas. Mais dès le moment où l’on entreverra ce desir, il ne pourra pas etre laissé derrière. On est immédiatement obsédé par le nouveau contexte de sa vie, plein de possibilités qui avant semblaient tous hors de portée. Je n’ai jamais été la citoyenne parfaite. Je ne veux pas vivre dans une ville inondée par la pollution et l’air tout à fait imprégné avec le sentiment que l’individu qui ne produit pas est inutile. Je ne veux pas manger la viande de l’ère des hormones, ni les fruits qui ont doublé en taille mais qui n’ont que la moitié de leur saveur originale. Je ne veux pas y appartenir. Pas du tout. Et jusqu’à ce moment-ci, je pensais que c’était obligatoire de suivre ces règles. D’être un membre productif de la société et de céder la vie au culte mondial qui vénère surtout l’argent. Maintenant que je sais que je possède une autre option, la partie de ma vie où je dors paisiblement s’est certainement terminée.

Saturday, October 10, 2009

देस idees

Aujourd’hui j’ai eu trois clients français dans le resto, et ça m’a rendu heureuse. J'ai hâte d’être à Monterrey. Je veux traduire avec une passion si brûlante que le soleil ne pourrait même pas la rivaliser. Ma langue maternelle n’a jamais été aussi intéressante que les autres langues, et même les langues que j’étudie ne me suffisent pas. Je suis absolument obsédée par l’idée, le son et le changement de mentalité qui conviennent avec une autre langue. Votre perspective doit changer, doit évoluer, doit croître avec la nouvelle information qui tend votre esprit de l’intérieur.

Friday, October 9, 2009

¿Qué es el amor?

¿Es algo tangible? ¿Algo que nace de la necesidad? Esta fuerza, ambas centrifuga y centrípeta, nos empuja el cuerpo hasta la limita físicamente y mentalmente. Sin embargo, somos todos esclavos de su hipnotismo, incluso el amor de los otros alrededor de nosotros. ¿Pero porqué? ¿Porque nos interesan tantas las novelas románticas, por ejemplo? Estoy leyendo la novela la mas chiquilla en el mundo, y aunque no me gusta la literatura súper romántica a causa de su ‘cursidad,’ este libro me ha agarrado por los ojos y me ha forceado a continuar absorbiendo las palabras como una adicta. ¡Y como me da vergüenza! Pero la verdad es que, como si se quedara alojada biológicamente en mi composición genética, esta fascinación con el aspecto del amor me sorprendió. Me estremezco admitir el nombre de la novela… Por supuesto es la serie Twilight. Me pregunto porque de pronto un cuento tan dramático podría hacerme sentir así, y normalmente buscaría la falta en mi propia vida romántica para obtener la respuesta, pero honestamente me siento feliz con lo que tengo. Mi novio de más de un año me sorprende todavía con su dulzura y su capacidad de hacer que mi corazón desarrolle regularmente con amor y pasión. A pesar de que no me falta nada romántica en la vida, el peligro y la fantasía de que se trata el cuento (dos cosas que están presentes pero escondidas en la vida cuotidiana) me hacen leerlo con rapidez. Entonces, ¿es el amor que interesa a los millones de fanáticos de Twilight o les interesa más el fantástico? ¿Puede ser los dos igualmente? La natura humana es algo complicada, pero en esta situación diría que sea una mezcla… Es una lucha comprenderse a veces. Quizás cuando termino la novela aprenderé algo más de mi mismo. El amor es como un golpe bajo en cuanto a la literatura—ni una sola mujer puede ignorar su gravitación.

Bonjour monde

C’est vendredi matin et je me prépare pour le travail. Mentalement. C’est l’un de ces boulots où l’on se promet chaque cinq minutes que ce jour-là peut être le dernier. Qu’on peut faire mieux, que les qualifications sur ce CV sur papier-parchemin, facile à lire grâce aux efforts de l’université qui m’a appris surtout l’importance des tailles de caractères, bien sûr affirment qu’on mérite un peu plus quant au travail. Ce n’est pas l’odeur constant du gras sur le grilloir, ni les arguments que j’aurais certainement avec le gérant. Les smileys de ketchup ne pourraient pas me faire sentir le poids de cette angoisse émoussée, non plus. C’est plutôt le potentiel à l’intérieur de ma tête qui crie, qui essaie d’échapper sans ma permission. Il fait de gros efforts pour se détacher de moi, car je ne peux pas le satisfaire au présent. La gravité des aventures qui l’attendent sont sur le point de m’arracher violemment du monde que je connais, et moi je continue à jouer mon rôle. Pommes frites, quelqu’un ?